Journal des ingénieur·e·s cadres technicien·ne·s et agent·e·s de maîtrise Agent·e·s de la ville d’Ivry-sur-Seine
N° 3- Février – mars 2022
Cher.es camarades, cher.es collègues,
Alors que les contaminations dues aux variants du COVID reprennent, la guerre éclate aux portes de l’Europe.
La CGT, dans un communiqué intersyndical avec la FSU et Solidaires, rappelle « son opposition à toute escalade militaire dont les conséquences, imprévisibles, peuvent conduire à un engrenage et à une confrontation des impérialismes au détriment des peuples ».
Internationaliste et humaniste, la CGT dénonce le fait de guerre qui met en opposition les peuples du monde et qui n’est que le jeu des vendeurs d’armes dont le commerce profite à une poignée de privilégiés.
Le slogan de Karl Marx en 1848 « Prolétaires de tous les pays, unissez-vous » reste un repère fort pour notre syndicalisme de classe et de masse.
Notre solidarité va en cet instant vers le peuple d’Ukraine qui subit les foudres meurtrières d’un mégalomane et le peuple russe est pris en otage par des décisions qui le dépasse.
Edito
Cher.es camarades, cher.es collègues,
Alors que les contaminations dues aux variants du COVID reprennent, la guerre éclate aux portes de l’Europe.
La CGT, dans un communiqué intersyndical avec la FSU et Solidaires, rappelle « son opposition à toute escalade militaire dont les conséquences, imprévisibles, peuvent conduire à un engrenage et à une confrontation des impérialismes au détriment des peuples ».
Internationaliste et humaniste, la CGT dénonce le fait de guerre qui met en opposition les peuples du monde et qui n’est que le jeu des vendeurs d’armes dont le commerce profite à une poignée de privilégiés.
Le slogan de Karl Marx en 1848 « Prolétaires de tous les pays, unissez-vous » reste un repère fort pour notre syndicalisme de classe et de masse.
Notre solidarité va en cet instant vers le peuple d’Ukraine qui subit les foudres meurtrières d’un mégalomane et le peuple russe est pris en otage par des décisions qui le dépasse.
Tel un effet papillon, le libre-échange entre les grandes puissances industrielles du monde est bousculé. L’inflation frénétique des prix des produits de première nécessité explose : le gaz, le pétrole, le blé … Et ce sont encore les populations qui en font les frais.
En France, la régression sociale s’accélère. Nos conditions de travail se dégradent, on ne sait plus parfois pour qui ou pour quoi on travaille.
Nos salaires ne nous permettent plus parfois de répondre aux besoins primaires: se loger dignement, se chauffer, se déplacer, manger des produits de qualité…
En effet, nous sommes toutes et tous rendu·e·s à subir de plus en plus notre travail, alors que nos missions de service public devraient être valorisées par un financement public à la hauteur des besoins et une organisation collective qui met en avant la solidarité plutôt que la charité.
Vers la version PDF : ici